Quand on regarde le monde, tel qu'on le connaît, tel qu'il a évolué, nous remarquons une chose, la plupart des conflits sont bipolaires. Il y a d'un côté les "gentils" de l'autre, "les méchants", les capitalistes et les communistes, les prolétaires et les patrons, Dieu et le Diable.
Dans la plupart des analyses politiques, sociologiques, économiques, historique, il y a cette espèce de bipolarisation qui divise le monde aujourd'hui.
Tout comme dans un jeu d'échec, deux groupes s'affrontent lors des guerres, des conflits, des grèves. Des étudiants face à des profs, les électeurs face aux élus...
A croire que c'est presque la seule manière de concevoir le monde. Si vous lisez un livre, regardez un film d'action, d'aventure, de science-fiction, de fantasy, vous retrouvez cette bipolarisation. Il y a toujours les forces du mal, contre celles du bien. Les magiciens contre les sorciers, les policiers contre les bandits, les Jedi contre les Sith.
Même en politique, il y a la droite contre la gauche. Oui, je sais, il y a le centre. Le modem de Bayrou, mais il reste assez marginal et peu voté.
En fait c'est comme dans un jeu d'échec, il y a les blanc et les noirs, comme au foot, les rouges contre les bleus. Il y a rarement de troisième camps, même si ça arrive parfois, comme les suisses qui restent neutres, mais celà dit, je ne pense pas que ce soit la meilleurs solution.
Au fond, si c'est comme dans un jeu d'échec, il faut choisir sa couleur pour chaque problème de la vie qu'ils soient petits ou grands. On est soit blanc, soit noir, mais rarement gris.
La fille aux yeux d'argent.